BIO
Dans les années 1970 et 80, ce sont les premières expositions, à Paris en 1973 pour « Les Gens de Prague », puis en 1980 « New-York City », en 1982 « Saint-Louis, Missouri », en 1983, « Le Peuple Sarahoul ». En 1987, c’est le Musée des Beaux Arts de Chartres qui accueille son travail « Visite des Images de la Cathédrale », de grands tirages noir et blanc sur des palissades, des installations d’objets abandonnés par les touristes, un déambulatoire d’images à même le sol… En 1992 et 1995, il participe à deux grandes expositions du Musée de l’Homme, « Tous parents, Tous Différents », et « Six milliards d’hommes ».
En 1995, il est invité en résidence à Tanger (Fondation Lorin) avec « Portraits de mois avec Bébé », des raccourcis de vie, trente portraits Polaroid 50 x 60, puis à Fès en 1997 : il construit « L’Arbre à Famille » avec la sculpteure Jocelyne Bouquin. En 2003, ses « Mariannes de La République » habillent les colonnes de l’Assemblée Nationale. En 2004, il participe à une exposition de groupe à la Galerie Herschtritt à Paris, puis, en 2005, c’est le début d’un travail intitulé « Monstruosité, Beauté Extrême », à propos de la collection de pathologies humaines du Musée Dupuytren à Paris. En 2005, « Le Piège à reflets » est une création qui émerge de deux résidences successives au Centre Culturel de Cotonou au Bénin, exposée à la Fondation Lhomond à Paris et au Centre Culturel Français de Cotonou. En 2011, cette installation est montrée à Provins, augmentée des « Fictions Vaudoues », lesquelles s’exposent en décembre à la Galerie Iconoclastes, sous le nom : « Fictions Vaudoues, nature mortes argentiques et installation ». En 2013, il est invité aux Rencontres Internationales de la Photographie à Tlemcen et Oran et monte des ateliers avec de jeunes photographes algériens. En 2014, en résidence à Tlemcen invité par l’Institut français, il réalise un projet commun avec cinq artistes plasticiens algériens et trois artistes français, dont la restitution se déroulera au Palais de la Culture de Tlemcen.En 2016, c’est la parution de « 1978, New York », avec un texte de Peter Wortsman, qui retrace le travail photographique qu’il avait entrepris à New York, en 1978. En 2016 également, il initie également une médiation artistique destinée à parler de la relation particulière existant entre l’Algérie et la France, avec l’appui scientifique assuré par le Professeur André Langaney, généticien des populations. C’est alors qu’il crée « Mélangeons-nous », un projet de rencontres artistiques et ludiques, qui tente de poser des images et des mots sur la question du vivre-ensemble. En 2016, c’est la parution de « 1978, New York », avec un texte poètique et engagé de Peter Wortsman, traduit par Claudie Bernard. Puis il « Mélangeons-nous », un projet de rencontres artistiques et ludiques, qui tente de poser des images et des mots sur la question du vivre-ensemble. Depuis 2011, il anime des ateliers thérapeutiques à l’unité Ado 93, service psychiatrique de Ville-Évrard (93).
Born in 1949, Jean Luc Dubin lives and works near Provins. After commercial studies, he chose to devote himself to photography, a passion of childhood: from the age of 11, during a summer camp, he discovered the power of the image. His work is eclectic, portraits of classical and jazz musicians (for Deutch Gramophon, Verve), a r esidency at the Musée de l’Homme in Paris for a visual artist, portraits, and always travel, before elaborating on powerful themes, including the spine expresses a deep humanity. In the 1970s and 1980s, these are the first exhibitions, in Paris in 1973 for « Les Gens de Prague », then in 1980 « New-York City », in 1982 « Saint-Louis, Missouri », in 1983, « Le Peuple Sarahoul ». in 1987, the Musée des Beaux Arts de Chartres hosted his work «Visite des Images de la Cathédrale», large black and white prints on palisades, installations of objects abandoned by tourists, an ambulatory of images on the ground… In 1992 and 1995, he participates in two major exhibitions of the Musée de l’Homme, “Tous parents, Tous Différentes”, and “Six milliards d’hommes”. De 1996 to 1999, he worked at the CMP in Montreuil with children aged five to eight with behavioural problems. Begins work on identity from genograms. En 1995, he was invited to residency in Tangier (Fondation Lorin) with «Portraits de mois avec Bébé», shortcuts of life, thirty portraits Polaroid 50 x 60, then in Fez in 1997 : he built «L’Arbre à Famille» with the sculptor Jocelyne Bouquin. En 2003, its «Mariannes de La République» dress the columns of the French National Assembly. In 2004, he participated in a group exhibition at the Galerie Herschtritt in Paris, then in 2005, it was the beginning of a work entitled «Monstruosite, Beauté Extrême», about the collection of human pathologies at the Mu In 2005, « Le Piège à reflets » is a creation that emerges from two successive residencies at the Cultural Centre of Cotonou in Benin, exhibited at the Lhomond Foundation in Paris and at the French Cultural Centre in Cotonou. In 2011, this installation is shown in Provins, plus «Fictions Vaudoues», which are exhibited in December at the Galerie Iconoclastes, under the name: «Fictions Vaudoues, nature mortes argentiques et installation ». In 2013, he is invited to the Rencontres Internationales de la Photographie in Tlemcen and Oran and organizes workshops with young Algerian photographers. He is invited to the Rencontres Internationales de la Photographie in Tlemcen and Oran and organizes workshops with young Algerian photographers. In 2016, is released « 1978, New York », with a text by Peter Wortsman, which traces the photographic work he had undertaken in New York in 1978. In Also in 2016, he initiated an artistic mediation to talk about the special relationship between Algeria and France, with the scientific support of Professor André Langaney, geneticist of the populations. It is then that he creates « Mélangeons-nous », a project of artistic and playful encounters, which tries to pose images and words on the question of living together. Since 2012, he has led therapeutic workshops in three departments of the Ville-Évrard psychiatric hospital (93), with the desire to offer patients the opportunity to use photography to enhance their self-esteem and to open up to others.